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8 janvier 2016

La vérité sur les animaux ?

lisbonne 178

Lorsqu’il y a plus de « chaleur humaine » chez les animaux ? Lorsque les animaux montrent parfois plus d’empathies que certains êtres humains ? Et qu’il n’existe, non, aucun cruauté animale, un animal ne fait pas de mal par plaisir ? Il ne se bat et tue que pour manger ou se défendre ? Jamais les animaux n’ont fait la guerre ? Vous n’allez pas nous faire croire qu’ils recherchent plus l’affection que nous ? Qu’ils sont plus tendres et plus affectueux ? Et pourtant OUI !!!

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Alors un monde bisounours ? Vont ricaner les déjà perdants de la nouvelle civilisation ?

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Il est, en effet, thérapeutiquement très probant de voir avec quelles violences rejettent les bisounours tous nos prétendus dirigeants. Pas de bol pour eux, leurs dénégations maladives ne reposent sur aucune réalité. Bien sûr, c’est une fiction que le monde bisounours. Mais tellement plus proche de la vérité pourtant, comme nous allons le voir. Qui ricane aura donc juste perdu une occasion de ne pas s’auto-rabaisser à ce point. La vidéo jointe mais aussi les liens ci-après éclaircissent le fond de l’affaire.

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http://www.imagiter.fr/article-l-altruisme-est-ce-que-nous-refusons-comme-notre-heritage-animal-55110829.html

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https://youtu.be/KULgc10GlCU

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http://www.ayoye.com/best-of/definition-de-lempathie-une-video-magnifique/

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Ainsi, au fil des siècles, les dominants et dirigeants de tous poils (ayant besoin pour cela de disqualifier les génies et les vrais écrivains !) ont colporté ces fables et ces pures diffamations. La guerre et la cruauté c’est uniquement l’être humain. Lui seul torture parce qu’il a …tort. Les refus de tendresses et d’affections sont le fait d’uniquement la « bête » humaine. Le plaisir de faire du mal est chez lui seulement. Si, parfois, des animaux s’y prêtaient ce serait uniquement ceux qui vivent très proches de lui, et pas par volonté expresse de ceux-ci mais pour « obéir » au chef de meute…il y a donc plus d’entraides, de solidarités inter-espèces, même là où nos cerveaux bloqués ( bloqués par qui ?) veulent l’admettre - avant que les faits ne le démontrent sans contredits. Après ces faits, d’ailleurs, une partie s’entêtent à ne pas avoir encore de têtes sur les épaules… Oui, la vérité est que, en général, les animaux sont plus tendres et affectueux que nous …c’est auprès d’eux que nous devons apprendre LA PAIX…et surtout pas auprés des prétendus dirigeants. Si vous faites des insitutions agressives, égoistes et non partageuses – alors que tout a démontré que des institutions sociables et co-opérantes sont plus tellement plus efficaces (c’est même écrit dans le mot co-Opérant où cela opère tellement plus…et tous ensembles !!!) – oui vous déclarez la guerre à la société. Vous « n’êtes » donc pas un dirigeant. Exit.

Comme d’habitude les prétendus dirigeants nous auront mis les conclusions avant les démonstrations. Qui – ainsi – elles, n’arrivent jamais. Ce n’est donc, en réalité, que l’extériorisation de leurs pensées. En aucun cas « la » réalité. Que ces esprits bourgeois dégoisent « le monde extérieur est toujours plus difficile, très dangereux » ce qui sous-entend que « à l’intérieur » c’est chaleur nationale, bisounours partout. Alors, que même pas 2 minutes après voir bouffonné cette pseudo-sagesse, ils mettent, brutalement (et sans motif défendable), en pièces la société, ces dirigeants oui. Cela n’est pas sérieux du tout. La réalité est plus bisounours qu’ils le prétendent. Ce sont eux la violence sans motif avouable et jamais pour nous…défendre, c’est sûr. Ce sont eux oui les brutes et les barbares…sans éducation. Et pas la Nature ou les…animaux… « Nous ne vivons pas dans un monde de bisounours » .Qu’est-ce qu’ils en savent ? RIEN apparemment…sans eux et les conformistes inexcusables ce serait déjà fait un monde plus bisounours. C’est clair…Un prétendu réalisme qui n’est que piteux délires, seul, le défend…les civilisés en costards cravates qui bavent sans cesse que le monde est dangereux, extrêmement sauvage - ce n’est pas sérieux du tout…leur civilisation aurait dû nous faire quitter cette…sauvagerie depuis belle lurette. Si les résultats sont inverses c’est que c’est une anti-civilisation, non une civilisation. Et ces prétendues dirigeants sont bien des…arriérés. Qui n’ont toujours rien appris sur la réalité congruente... Avec eux, les sauvageries deviennent plus immenses encore. Où serait l’anomalie ? Les menteurs sont de plus en plus facilement piégés – les trop naïfs cyniqués par eux-mêmes…ils ne sont pas civilisés, c’est tout. Hontes et déshonneurs sur eux : ils ont tous les moyens « financiers » d’apprendre, non ? Donc aucune excuse…

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Vous leur dessinez un bisou inoffensif, vous les voyez délirer gravement – entre paranoïas et psychoses…écoutez-les : tout ce qui est généreux, tendre, désinteressé, compréhensif, attentif, pacifique, pondéré, attentionné …débouche sur les pires horreurs. Par contre, être dépourvu de cela ( les sentiments positifs) EST l’horreur même. Déjà. Les résultats sont donc pires que ce qu’ils nous INTERDISENT DE vivre…De la sorte, on nous supprime la sortie généreuse et l’on nous dit que c’est parce que cette sortie n’existe plus que tout le mal du monde…advient…à part des inversions de grands malades rien de convaincant dans ces loufoqueries. L’indifférence cruelle est un vice privé – l’altruisme et l’empathie sont des vertus publiques…les privatiseurs illégaux n’ont plus rien de public depuis longtemps. Ce sont eux les provocateurs des malheurs du monde !

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La peur de l’autre vient du chacun pour soi ? Voyant en soi les abimes insondables de la brutalité de son propre égoïsme on étend (sans arguments) cette hideur aux autres – ces autres nous effraient parce que notre image interne est…effroyable. Ou c’est le chacun pour soi qui fait peur ? Tiens cette seconde attitude semble plus saine, plus proche de la sortie. Des solutions vraiment sérieuses. Oui celles bloquées par l’arriération mentale nommée capitalisme – justement.

Tous les poisons antisociaux sont distillés par de prétendus dirigeants ? Vieux schémas narratifs donc que les autres seraient nos ennemis. Puisque nous le sommes déjà – avant toutes vérifications, arguments ou rencontres – ennemis de ces autres…uniquement d’inexcusables préjugés ! L’ennemi c’est de telles pensées nuisibles. Evident, non ?

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Corrompus par la société donc surtout PAR SES DIRIGANTS ? Par qui d’autres ? Par qui nous ne rencontrerons jamais, par qui ne peut massifier ses idées et donc nous souiller la vie, etc. eh non, la bienséance de rester rationnel ose que seules les idées dirigeantes atteignent le maximum de nocivités…ainsi sans « leur » civilisation (qui n’a rien à voir avec la vraie – encore trop muette) il n’y aurait pas eu invention des…guerres. Les guerres c’est les chefs. Pas qui les suit. Or, « leur » civilisation ne peut exister hors de leurs cerveaux détraqués puisque Darwin lui-même clarifia que le darwinisme social ne peut exister. La Nature ayant prévu l’empathie et la sociabilité afin que la résistance aux pulsions d’exterminations ne parvienne à la destruction totale de la société où le plus fort écraserait tout le monde. Et serait écrasé par le plus fort qui écraserait tout le monde. Et serait écrasé par plus fort… écraserait tout le monde. Et serait écrasé par …la protection des plus faibles est la condition de survie de l’Humanité. Même les crétins capitalistes (l’état zéro de la pensée) l’admettent puisqu’ils mendient, en chialant si puissamment, la socialisation…des pertes. Enfin les leurs. Or leur darwinisme social c’est « t’es ruiné, on s’en fout, nous…dégage dans ta poubelle et surtout pas de plaintes, ne demandes jamais…d’aides, etc. ». Or, ces effondrés capitalistes font tout l’inverse de leur dogme…inhumain et donc…anti-animal…Oui là, il « faut » nationaliser leurs pertes donc… dédarwiniser le darwinisme social. Le seul membre de la société qui vit hors du réel et à 100 % ? Oui, l’arriéré capitaliste qui se désavoue sans cesse. Et dans le peu de cœur qui lui reste il y a bien un…monde bisounours…D’ailleurs, les groupes aux comportements les plus altruistes SURVIVENT mieux que les enfermés et rétractés dans le seul égoïsme. Donc l’altruisme est ce qui rend FORT et fait survivre ? Oh que oui !!!

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Autres preuves ? Les FICELLES de manipulations des prétendus dirigeants sont très…primitives, primaires, schématiques oui…simplistes. Preuves qu’elles n’appartiennent pas à l’Evolution. En être toujours à ce qui reste nommé l’âge des cavernes – et qui se puérilise en peur de l’extérieur, du pas pareil, du différent, etc. …tout cela appartient au stade…pré verbal. Le stade avant les raisonnements et les argumentaires. Oui c’est trop plouc et ringard pour Être Vrai…le côté maladif s’avoue : alors que les chiffres prouvent une augmentation forte de la… sécurité dans la société - les médias nihilistes, puisque « vendus », créent et fabriquent les sentiments d d’insécurités (ne correspondant à rien de réel). Et le tout sera, forcément, pire, toujours pire…n’est-ce pas là que du clair délire irrationnel ? De la plouctocratie mentale ?

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Si nous nous méfions c’est que nous ne savons pas co-opérer. Cela avoue notre désastreux état intérieur mais ne correspond pas à la…réalité existante. Ce pourquoi nous sommes TROP pessimistes sur les autres et pas assez sur nous. Trop laxistes envers nos majestés de l’égoïsme et pas assez bienveillants envers autrui. N’attendre que du négatif c’est bien être complices, oui collabos du pire, et acharnés à créer ce que nous prétendons ne pas vouloir. D’autant plus que le pessimisme n’est pas du REALISME, mais un travers maniaque de la pensée ! Pseudo-obessionnel.

Avoir confiance dans les autres crée les meilleurs événements. Pas les pires…Se méfier fait TOUT PERDRE AU DEPART sans même offrir une seule chance afin que nous arrivent de biens bonnes choses…surévaluation des risques et non prises de conscience des bienfaits. C’est quoi ces enfantillages ? C’est avoir mis NOS CŒURS EN PRISON….un net cercle vicieux - donc vicié. Vicié comment ? Vicié par qui ? L’individualisme est AIGRE. Pleurant sur tous les sacrifices que lui seul fait et que les autres eux ne semblent jamais faire…quels irrélaismes…ce sont nos jugements et préjugements qui sont faux – non le réel. C’est-à-dire nous sommes toujours plus petits que les situations, rétractés et rabougris. Le but n’est pas de juger mais d’envelopper, de faire le geste global, celui de la vastitude. Comprendre c’est prendre à l’intérieur de soi. Donc être tellement plus grand que ce que l’on prend. Cette bonne idée que de comprendre (en plus c’est cumulatif) en une seconde de prise de conscience annule les mondes barricadés des stupides sentiments d’insécurités. Où seuls les…sentiments sont en insécurité. La preuve ? Société glaciale et…régressive actuelle : plus beaucoup de sentiments circulent. Sans le cœur rien n’évolue jamais…Et rien d’autre n’est en insécurité ? Comprendre c’est, aussi, ne pas être d’accord, il n’y a pas obligation d’approuver, ni d’excuser  - c’est, plutôt, se créer une liberté de manœuvre, une possibilité de surfer sur tout. Donc c’est être futé et malin et non plus mou que la crème… renversée… 

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En effet, pas plus con que de diriger sa pensée sur l’attention aux autres avec pour résultats époustouflants la « libération » des neurotransmetteurs qui donnent tant de sensations agréables. D’où la certitude que plus c’est trop bon, plus c’est vraiment très…trés bon. Et pas trop bon trop con. La méchanceté étant plutôt renfermée, aigre, n‘offrant que de désagréables sensations. Puisque ses neurotransmetteurs sont quasiment en grève…

Créer des institutions humaines, collaboratives, co-opérantes ( rien, là, qui ne s’annulent dans les infantilismes des conflits – ces sous sous-réalités) – amènent, implacablement, à une amélioration de la société toute entière. Les politiciens le savent très bien…et donc…font l’inverse…la « plasticité cérébrale » permet une évolution permanente : il n’y pas de fatalité du c’est comme ça figé. Tout au contraire…Or, ils prétendent que oui tout doit rester sans changements…toujours des cancres indécrottables que ces politiciens déchus…. De nous figer toujours dans le primitif, primaire simpliste est bien un acte violemment antisocial. Et antiscientifique…ce sont ces prétendus dirigeants les insurgés, les factieux, les éléments dangereux – pas nous !!!

Tombent les alibis piochés dans le monde animal afin de couvrir des comportements humains inadmissibles ? La cruauté animale n’existe pas, l’animal ne fait pas du mal par plaisir. Juste pour se défendre ou manger. Ses façons de mettre à mort supportent les comparaisons avec les abattoirs. Enfin, jamais les animaux ne font la guerre. Si l’humain diffamatoire se donne tous les droits en se…cachant derrière l’animal – ici, l’imitant toujours, il doit donc proscrire, à la seconde, toute guerre. Afin de demeurer « supérieur » à l’animal, non mais des fois…Ici, est débusqué d’où viennent toutes ces diffamations sur les animaux. Tous les très nombreux exemples de solidarités, d’entraides et oui de tendresses animales peuvent se découvrir - nous l’avons fait, ici et dans le texte et dans les vidéos.

Cet article vise l’exhaustif. C’est la tendance générale de honte chez les dirigeants qui cherche à faire « croire » que leurs exactions et illégitimités seraient…naturelles (donc normales !). Elles ne le sont pas du tout. Le « darwinisme social » n’existe pas. Darwin l’a démontré dans son 3ème livre (celui qui est censuré au maximum). Oui les groupes sociaux les plus altruistes sont ceux qui survivent le mieux. Les groupes égoïstes non. Les plus forts sont donc les…altruistes. Et la « loi de la jungle » c’est l’entraide animale omniprésente – rien d’autre. Aussi bien le capitalisme n’a absolument aucun fondement : tout dans la Nature est autorégulé, global et solidaire et lui pas. Le monde animal est même tellement moins violent que de tels dirigeants. Il est même incroyable de découvrir que les désirs de tendresses et d’affections sont plus présents que l’on croyait chez les animaux. Les sources de violences humaines sont repérées – ce sont les trop riches les hyper-violents. Violences des viols de la justice et de l’honnêteté : tout est donné gratuitement dans la Nature. En aucun cas, il ne s’y trouve d’inégalités « construites » par l’argent si mal utilisés. Les inégalités ne sont donc pas scientifiques, Etc.

..La vérité sur les animaux c’est, aussi, la fin enfin du capitalisme.

………………………..Démasqué comme complètement illégal !

 

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16 novembre 2015

Tourbillons >>> -

Source: Externe

Dans ces torrents d’images qui t’arrachent à ton cœur paisible et tentent de te contraindre à prêter attention aux sinistres gesticulations des trop riches. Sinistres gesticulations des trop riches ? C’est qu’ils « doivent » semer le chaos partout. Afin de continuer, en parasites, à vivre sur le dos de l’argent des autres, oui de l’argent public (le nôtre) aussi. Et pour ceci DESORGANISER LA SOCIETE. Qui peut prouver que ce ne seraient pas, de a à z, des attitudes de voyous mentaux – peut venir, en toute sécurité, l’exposer à toutes et tous. Les guerres et les terrorismes (oui cela coûte infiniment cher que de désorganiser la société) sont, clairement, le fait, le problème et une des ultimes solutions des trop riches. Afin de faire durer encore leur Ancien Régime de privilèges. Tous plus illégaux les uns que les autres. En République – pas de privilèges, pas d’oligarchies, pas de pouvoirs héréditaires, pas de monopoles (sauf ceux, non lucratifs, des services publics, ces « biens communs » !), etc. Soit tout le contraire de la situation actuelle. Tourbillons.

Aucun pauvre ne veut ni ne peut faire la guerre. Presque plus aucun ne « voudra » la faire pour les fauteurs de troubles sociaux, les désorganisateurs de leurs propres vies, bref les clairs ennemis de la société. Aussi plus de problèmes en cet avenir collectif ? Quasiment plus aucuns ne voudront…

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Tourbillons ?

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La situation générale est en train de changer. Le mode d’emploi surpasse en valeur exacte tout leur argent. En bref – ne reste qu’à maitriser et dompter les tourbillons sociaux et civilisationnels. Tiens ! nombres d’ex-décideurs se défilent (et ne défilent plus du tout). Nous pas: Lorsque le vrai danger est là les authentiques défenseurs de la société sont debouts. N’attendant surtout aucune gratitude de personne. Habitué(e)s. Ils/ elles font le boulot et, ensuite, retournent à la « vraie » vie. Dans le monde en plastique de « ne jouer que des rôles truqués » d’autres vont, peut-être, venir se vanter d’avoir vidangé le vide. Désolé – ces « passions tristes » ne semblent combler que les imposteurs !!! D’ailleurs, ailleurs c’est partout ailleurs sauf dans leur petit cercle.

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< Tourbillons ?

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Vivre une émotion en s’identifiant comme un individu « à identité » la dévoie. Et nous empêche de nous retrouver dans notre espace vide intérieur. Là où tout se ressource, se renouvelle, se repose et trouve les réponses à toutes ses propres questions. La vacuité intérieure détient le maximum de notre force intérieure. Si nous n’y accédons plus ce torrent d’énergies peut se retourner contre nous. L’identité n’est que sociale : retrouver notre « vrai moi » (…sans nom, sans géographie close, sans nécessités de qualificatifs, etc.) ce n’est pas retrouver notre identité. Mais notre infinité vitale. Qui ne nécessite aucune appelation. Oui c’est cet espace vide qui se maintient sans jugement, sans condamnation, sans exclusion, sans humiliation, sans agressivité, etc. - sans rien de négatif envers nous. Nous nous y sentons lavés de toutes les blessures et éraflures causées par les autres. Ensuite, nous nous sentons, comme mystérieusement, devenir telement plus sereins et tellement plus joyeux. Il y a tant et tant de formes de tourbillons !

C’est même au centre d'un tourbillon agité – que nous trouvons l'immobilité parfaite ! La plus pesante des « concentrations » est, de fait, la plus légère. La méditation la plus condensée apporte, derrière les apparences, la fluidité la plus envolée. Ne rien vouloir de particulier (pour soi), ne pas dégainer de convoitise trépidante (pour soi) : attendre que ceci ou cela « arrive ». Nous…arrive. Oui ceci nous arrive - de vrais trésors à profusion. Simplement rester un-e participant-e attentifs et attentionnés de tout l’univers. En échange, c’est la paix intérieure qui s’étend tellement plus loin que notre conscience peut le concevoir.

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Tourbillons ?.......................Tourbillons ?.............Tourbillons ?

Pourquoi n'es tu pas dans le tourbillon

Qui t'arrache à ton égoïsme

Sans issue

Sans futur

Sans les autres

Sans la vie entière

sans le tourbillon

non

Aucun gros tas d'argent ne sera plus beau aucun

qu'un cœur pur

Aucune chanson ne vaut

le dérangement

Si elle n'est pas dans le tourbillon

qui t'arrache à la

mesquinerie

à la petitesse

à l’absence de projets collectifs

aux crispations narcissiques

ou aux rictus d’avare

pensées de jalousies

qui ne sont jamais excuses de rien

hideurs des

vraiment sordides

égoïsmes !!!

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sauf pour des hallucinés trop courts –

la richesse la gloire ne valent rien

si elles ne sont pas dans le tourbillon…

 

 

LA FÊTE C'EST DANS LA TÊTE – et NUL NE PEUT FAIRE SEMBLANT...

……..Celle, fête, qui te caresse de fraicheurs bienvenues le front…

Si le monde devient fou – l’abri véridique est bien dans la paix intérieure. Mais « où » est-elle en nous ? Comment faire afin de la retrouver instanément ? Comment se tenir sur ce roc indestructible qui reste, pourtant, si moelleux pour nos contusions ?

Nous avons eu les réponses et les compréhensions de ces réponses

Sinon c’est quasiment fait…

… ….le temps que les expériences s’instillent en nous. Tout est style !

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https://youtu.be/3ByR5KwJVQg

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http://dai.ly/x18h1ef

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http://dai.ly/x1efehy

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https://youtu.be/7R3U7OI2UZU

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15 novembre 2015

L’horreur c’est contre les populations civiles

Source: Externe

Lorsque les populations civiles ne sont plus considérées que comme quantités négligables, dégâts collatéraux – il y a bien quelque chose qui est devenu absent de la civilisation. Il nous faut donc retourner jusqu’aux tréfonds des racines historiques afin de trouver où et comment s’est insinué ce non respect flagrant pour les civils. Et d’en retirer, alors, les solutions qui sont proches de nous afin d’abolir, à l’instant, cette horreur sans nom !

1943 – Les Britanniques ont beau pilonner les usines d’armements en Allemagne. Elles sont reconstruites aussitôt. Constat : d’abattre les ouvriers de ces usines demandera bien plus de temps afin d’en former, efficacement, d’autres…d’où…« Ce quartier était une cible idéale pour la RAF, dont la stratégie actuelle consistait à tuer le plus de civils possibles, des ouvriers surtout. Avec une hypocrisie éhontée, Churchill et Attlee prétendaient n’attaquer que des objectifs militaires et regretter les pertes civiles occasionnées par leurs raids. Les Berlinois n’étaient pas dupes (p. 799 – Ken Follett - L’Hiver du monde (1933- 1949) – mars 2015). »

L’extrême difficulté de trouver une citation qui englobe largement toute la problématique demeure. En ce qu’elle ne doit pas laisser se glisser des poches d’équivoques qui détourneraient du propos suivi. Ce qui est le cas ici, la citation se centre sur l’essentiel. Qu’apprenons-nous ?

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1) - Si une démocratie civilisée ose aller jusque là (La Grande Bretagne de 1943) qu’en peut-il être de pouvoirs bien moins fermement démocratiques ?

2) - Ce sont les yeux bien ouverts et en pleine conscience, que les civils sont sacrifiés. Dans une indifférence absolue pour leurs vies. Et cette insensibilité va même jusqu’à annuler leurs assassinats par la guerre-qui-s’autorise-tout et va jusqu’à nier ses propres meurtres.

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3) - C’est plus tard, croit-on, que l’horreur d’appellation des « dégâts collatéraux » (pour hors de l’attention centrale d’une cible) a été trouvée. Or, dès 1945, les U.S.A avait fondé, dans la théorie de l’indiscutable monopole américain sur le ciel dite d’« Air control » – puis air dominance, etc. le contenu même de cette définition. Dans ce sens : une guerre doit éviter, au maximum, que meurent des soldats. Elle ne peut rien, par contre, pour les civils. Il n’y a pas à s’occuper d’eux. Le dégât collatéral se montre, alors, proche du concept juridique « ayant entrainé la mort sans le vouloir ». Pourtant c’est en toute connaissance de cause, que les civils sont traités en tant que quantités négligeables. Cette idée vient de trop loin pour être plus longtemps admissible.

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4) - Tout – depuis les mots « faussés » et non libres, jusqu’aux « concepts de la poussière planquée sous le tapis » - hurle d’horreurs. Mais sait, aussi, encercler la source. Celle-ci est la « facilité » abusive que s’accordent certains humains d’user de la guerre juste pour assouvir leurs ivrogneries matérialistes aux profits fous et à l’argent des autres. Ce qui ne peut être extorqué que par la force. Assécher la source (la possibilité sociale même du profit abusif) ne peut que déshydrater la guerre. Et donc son postulat anti-civilisé que « ce sont, désormais, toujours les civils qui trinqueront ». Comme nous y assistons, depuis, dans toutes les horreurs sociétales.

5) - Les « combats » peuvent, plutôt, devenir « singuliers ». Le spéculateur seul contre son adversaire. L’actionnaire contre qui n’accepte plus cette posture de barbarie. Le boursier contre qui veut abolir la Bourse. Le « profiteur » contre qui refuse cette régression ahumaine. etc. En tout cas plus d’enfants, de vieillards, de femmes et de civils désarmés pris en otages par des cerveaux cramés à la guerre illégitimable. Puisque le « patriotisme » c’est souvent attaquer des pays très loin de chez soi en prétendant que c’est pour se…défendre. Ce fallace a disparu. Il ne demeure plus que l’avidité nue des seuls intérêts à vif. Dont les civils doivent être, avant tout, protégés de toutes ces folies. Qu’ils se battent donc entre eux. Sans nous. Personne ne doit être mêlé à « leurs histoires »…Il est certain que leurs pulsions guerrières risquent fort de se tarir avec de telles lois.

….

6) – Tout, depuis le Droit et la philosophie, est CONTRE la guerre. La guerre n’est aucun moyen qui ne poursuit rien du tout. Et dont aucun adulte responsable ne peut faire l’éloge. La situation après quelque guerre que ce soit est toujours pire qu’avant : sinon il est évident que ce procédé serait devenu obsolète depuis longtemps. Ayant fait entendre sa raison. Comme les guerres ne diminuent pas – la méthode ne peut être bonne. Et doit donc être abandonnée : surtout si ce sont les civils qui paient pour les autres…La guerre s’use dès qu’on s’en sert. Détruire n’est pas construire…Même l’étymologie s’y met. CIVILisation ne ressemble pas à MILITARisation. Cela semble bien même être son exact inverse. Depuis civilitas, civilis, civicus, civis qui ont semé la cité, le citoyen, la civilité, le civilisé, tout tire vers la conclusion que la vraie civilisation c’est…l’abolition de la guerre. Anciennement, sempiternellement recommencée. Donc la civilisation c’est l’abolition du militaire armé. Et la vie collective civile et civilisée sort, ainsi, de cette impasse. D’insolution.

7) -  Afin de bien saisir les contraires et oppositions…regardons ce… « civil, de civis, citoyen ; opposé à militaire (p.170) et … «civiliser, 1586, Le Roy, de civil, au sens figuré de « cultivé » (p.170 – Nouveau dictionnaire étymologique et historique Larousse, 1971). La clarté y est : le citoyen ne peut l’être que dans la liberté de pensée. Il décide selon sa conscience et non abasourdi par des ordres qu’on lui hurlerait sans discussion. La civilisation est citoyenne. Puisque, afin de se décider, en toute conscience, le citoyen doit être « équitablement » (mot favori d’Alain Minc - on se demande pourquoi) informé et instruit. Ce « civil » est alors cultivé. Et la civilisation représente bien une  immense culture comme un cumul inépuisable de biens communs partageables entre/ par tous.

8 - La guerre tue 3 générations (les parents et les enfants qui la vivent en direct). La troisième ce sont leurs descendants nés bien après cette guerre mais qui vont « devoir » la vivre, par effraction, tout de même. Oui payer très cher le fait d’être nés. Avec des phrases foncièrement anti-éducatives telles « tu parleras quand t’auras fait la guerre ». Où l’on n’est autorisé à parler qu’après son propre effondrement dans le meurtre d’autres êtres humains. Pour dire quoi alors ? Ainsi, le terrorisme guerrier ne produit, lui, qu’un sempiternel monologue qui s’auto- convainc en hurlant toujours. Pour ne pas s’entendre lui-même ? Mais ce monologue, partout diffusé, ne séduit jamais ni les cœurs ni les esprits – lorsque ceux-ci sont dans leurs entières libertés intérieures. En conséquence, la paix ce sont les POURPARLERS. Dont les PARLEments aident à maintenir bienfaits. Et la guerre c’est « pour ne pas parler », afin d’empêcher tout dialogue, toute entente et donc toute vie en bonne…intelligence. Etc.

….

9) – Il reste possible de trouver la suite de cette réflexion de pointe dans le livre "Assentiments aux sentiments - premiers pas vers une paix mondiale", que nous pouvons avoir gratuitement en cliquant sur l’onglet 4 du site (si prémonitoire) http://www.freethewords.org/ ou…la bibliothèque du futur. Suggérant qu’il faudrait attendre avant qu’il se trouve des humains capables de lire, en adultes, ces documents ! Ce livre, après une étude anthropologique approfondie des armées, réunit tous les savoirs existants sur la guerre. Ce qui va de la polémologie, à la géopolitique ou bien la linguistique, sans omettre l’étude de l’escalade de la terreur. Bref, une somme assez complète qui peut servir de tremplin pour une compréhension englobante de la grave régression civilisationnelle que représente toute guerre.

...

…….Afin d’arracher, définitivement, cette nuisance de nos têtes.

 

 

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…puisque la paix commence quand nous avons rompu en nous tout « relais » à l’idée de guerre. Et que cette plante complètement désséchée n’est plus transmissible – par nous – à d’autres. La pandémie stoppée nette. Puisque nul-le ne peut faire ce que vous ne faisons pas. Si nous ne déplantons pas la guerre en nous, n’arrachons pas entièrement cette mauvaise graine – nous gardons une partie de responsabilité dans toutes les horreurs « civiles » autour de nous !!!

 

http://conflits.revues.org/1883

 

Le monopole de la violence ?

 

http://www.persee.fr/doc/receo_0338-0599_2003_num_34_1_1594

 

Débat autour de la fin du monopole de la violence légitime

 

https://yvescharleszarka.wordpress.com/2012/09/23/letat-ou-le-monopole-de-la-violence-symbolique-legitime/

 

Comment la « violence symbolique » a aujourd’hui un nom : évaluation.

 

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/occident-le-desir-du-monopole-de-140418

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Comment l’historique de la viomlence est très loin de nous contenter ?.......................

« Etymologie : Violence vient du latin violentia, violence (de caractère), fougue, emportement, humeur farouche, cruauté, rigueur (morale), dureté, dérivé de violens, violent, lui-même de vis, vigueur, force ; légitime vient du latin legitimus, fixé par les lois, conforme aux lois, légitime, légal, lui-même venant de lex, loi, droit écrit.

La violence est une force non contenue, brutale, une extrême véhémence, une grande agressivité, exercée par une personne ou un groupe de personnes contre quelqu'un pour obtenir quelque chose.

L'expression "violence légitime" fait référence au monopole dont dispose l'Etat pour le maintien ou le rétablissement de l'ordre public ainsi qu'en temps de guerre ou de risque de guerre. La violence légitime peut se traduire par une limitation des libertés individuelles. Elle peut aussi dégénérer en un terrorisme d'Etat et, dans certains cas, prendre la forme extrême de génocide.

..

Le sociologue allemand Max Weber (1864-1920) considère que la "violence légitime" est la condition nécessaire, si ce n'est suffisante, pour qu'une institution puisse être appelée "Etat".  Pour lui, l'Etat est une "entreprise politique à caractère institutionnel lorsque et tant que sa direction administrative revendique avec succès, dans l'application des règlements, le monopole de la contrainte physique légitime" (Max Weber, "Le Savant et le politique", 1919)

..

Le monopole résulte de ce que les sujets de l'Etat consentent, par tradition ou par un désir d'égalité, à ce que celui-ci soit le seul à pouvoir exercer une violence sur son territoire, de façon légitime, en s'appuyant sur les forces policières, militaires ou juridiques.

Dans une démocratie, la "légitimité" de cette violence est basée sur la conformité au droit et à l'équité, elle-même définie par la raison, le bon sens, la justesse et la mesure. »

……Les débats de fond semblent encore toujours trop absents !

 

 

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https://youtu.be/oD9owJ6o_so

 

 

« Selon la « théorie du Heartland » imaginée par Halford John Mackinder en 1904 à la Royal Geographical Society [1], le berceau de la civilisation (World-Island) comprend les trois continents qui sont liés les uns aux autres : l’Europe, l’Afrique et l’Asie. L’accès à son pivot (Heartland), où sont concentrés 60 % des ressources mondiales en minéraux, eau potable, terres propices à l’agriculture et forêts, est un couloir appelé demi-cercle périphérique intérieur. Ce couloir s’étend de l’Afrique du Nord jusqu’à l’Afghanistan, en passant par la péninsule arabique, faisant du Moyen-Orient la « porte d’entrée centrale » du demi-cercle périphérique intérieur. Le contrôle de cette porte a été l’objectif géostratégique des grandes puissances mondiales, surtout après la Seconde Guerre mondiale. »

 

 

http://dai.ly/x32j3y2

 

https://youtu.be/qHKxwjurCY0

 

 

13 novembre 2015

Ne pas parler a-t-il une odeur propre?

Source: Externe

Oui si l’on en croit une anecdote d’un grand voyageur où il conte qu’entrant dans une pièce il sentit l’odeur de personnes qui n’avaient pas parlé depuis longtemps. Ce qui induit, alors, comme les résultats corporels d’une rumination des mots. Pensés, ressentis, brassés mais qui ne sont « jamais sortis »…Et une chaine de réactions chimiques qui se fait percevoir par ses fragrances…

..

Si la parole ne sort pas de la bouche, les mots se mettraient, en quelque sorte, à suivre le cycle de la maturité des fruits. Une senteur qui se rappelle à nous : point de fortes effluves, plutôt la noisette pointue du renfermé…ne pas parler pendant longtemps sentirait, donc, le confiné. La seule information qui manque à cette observation ? Si la fragrance est celle du corps de la personne ? Ou une odeur universelle commune à tous les taisants ?

….

Il y a plusieurs mémoires : afin de simplifier, celle que nous connaissons plus ou moins. Et celle qui se trouve le plus évidemment à l’extérieur de nous. La mémoire de l’univers ? De la vie ? Une autre…Oui celle qui se « rappelle » à nous. Et l’odeur est un souvenir qui sait nous « retenir »…Voici qui accroche l’attention – de quoi aller voir derrière le mur des apparences.

Voilà qui rappelle et appelle un commentaire de Daniel C. Dennett (l’auteur de « La conscience expliquée » ou de la « Théorie évolutionniste de la liberté ») argumentant que de représenter un homme sans une bulle avec des mots au-dessus de sa tête c’est comme de représenter un ours sans sa fourrure. Cela est tout aussi dépourvu de sens. Le langage étant bien une partie corporelle de l’être humain.

 

Et voilà qui nous tire vers tant « d’attentions manquées » (comme les actes manqués…). Attentions non vouées à toutes les informations…hors cadre !!! Ce qui, déjà, contredit frontalement le « Le drame de la vie, c’est qu’il peut ne rien s’y passer. » de Georges Perros. Il s’y passera toujours, au moins, une vigilance tranquille à tout ce qui ébouriffe la routine. Nous prend à rebrousse- poil. Sortir du cadre préformaté représente un petit acte de volonté qui porte ses immédiats fruits. Un élargissement de la conscience immédiate…Auprès de nous, il « se » passe sans cesse des tas d’évènements. Le fait est juste que nous n’avons pas appris à les décrypter. Un fait minuscule, pour nous, peut faire, à la fois, le frottoir et l’allumette. Et enflammé tout l’univers !!!

DE QUELLE TAILLE SOMMES-NOUS POUR DECIDER AINSI, unilatéralement, DE CE QUI IMPORTANT POUR L’UNIVERSEL…et de ce qui ne le serait pas…

….

Semblerait que l’humain ai pris la plus que mauvaise habitude de se tromper de :

..

**vigilances

**d’accommodations visuelles

**de hiérarchies des essentialités

**de centrations des concentrations

**d’applications à s’appliquer au millimètre près sur la peau du phénomène que nous voulons comprendre

**de méthodes comme de méthodologies

**de pratiques que l’on pratique sans apprêts frelatés

**de bienveillantes surveillances bien –veillées

**d’attentions attentionnées

autant que d’attentives attentions, etc….

Ce qui le conduit, cet humain, à de systématiques conclusions erronées. Bâclées, sabotées, gâchées, endommagées, altérées ou barbouillées…De déductions démesurées qui ne savent plus se placer dans une architecture puissante de raisonnements. Et se croient faire 1 km lorsqu’il s’agit d’un cm – et inversement. De défauts béants de cohérences et de congruences. De mots euphoniquement à leur vraie place…bref, d’une mécompréhension et d’une incompréhension de ce que la réalité attend de nous…et non l’inverse, gavé de caprices et de gâtismes précoces d’enfants gâtés. Etc.

Soit – trouver le chemin d’une réponse à : - parler bien, se sentir pleinement heureux de sa parole a- t-il une odeur ? Cette odeur se rapproche-elle des phéromones ? Est-elle plus alimentaire ? Fructivore ? Florale ? Volcanique ou sableuse ? Celle enclose dans une grotte ? Etc. Les interrogations se succèdent à l’infini…

Nous n’avons pas une réponse « comptable », une réplique chiffrée, un raisonnement dit, si abusivement, rationnel (la raison n’est pas que des chiffres mais la totalité englobante et capable d’y retrouver tout son chemin…), etc.….

     

,   mais, limpidement, une méthode de compréhension accélérée. De ce que :

1) – nous n’avons pas, bestialement, détruit le sujet de notre questionnement

2) -  nous parvenons à ne rien piétiner des traces délicates de la vérité pistée

3) – nous n’imposons aucune liste desséchée de solutions – à la place, mais faisons, précautionneusement, accoucher le descendant même des raisonnements 

4) – les puissances des ressentis et des pensées s’y allient au lieu de, si stupidement, se combattre…et s’éliminer l’un l’autre.

5) - nous parvenons aux flagrantes preuves d’un changement de civilisation : des questions, hier, impossibles à formuler, trouvent, là, leurs propres formules. Et formulations.

6 -  etc.

 

Un « ne pas parler a-t-il une odeur propre? » pouvait paraître absurde ou autre –

 

…………………….En tout cas, ceci nous a ouvert un voyage gigantesque…

…Signe de la grande fertilité d’une nouvelle vision du monde ’:

 

 

…………………………………..%%%%%%%%%.

https://youtu.be/QekBRSf-h_M

 

Longtemps, les scientifiques ont pensé que parole et langage, autrement dit cerveau et larynx, étaient indissociablement liés. Selon cette hypothèse, le langage articulé était apparu il y a environ 100 000 ans avec Sapiens. Or, au début des années 1990, ce postulat a été balayé par une nouvelle découverte : celle d'un larynx ayant appartenu à un néandertalien, hominidé apparu il y a 250 000 ans. L'homme de Neandertal aurait donc parlé avant Sapiens ! Comment est né le langage ? À quelle date ? D'Israël aux États-Unis en passant par le Canada, la France et l'Allemagne, ce film met en parallèle les connaissances de paléontologues, d'anthropologues, de généticiens, de linguistes et de chercheurs en intelligence artificielle pour évoquer les hypothèses les plus en pointe, avec le recours de l'animation.

 

 

https://youtu.be/9PsyjDMQ3jo

 

Si les scientifiques ne croient pas au mythe de Babel, ils ne savent toujours pas de façon claire et unanime d'où viennent les langues. Alors comment expliquer que les hommes parlent quelques 7000 langues sur la planète ? Que certaines meurent tandis que d'autres survivent des millénaires ? Y a-t-il une langue originelle, une langue-maman qui aurait donné naissance à toutes les autres ? Réponses avec Laurent Sagart.

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11 novembre 2015

Lorsque les catastrophes sont mentales ?

anthropisationsSource: Externe

Symptômes alarmants ? De qui délire sur le changement climatique comme un être supérieur tout extérieur aux réalités qu’il crée ?

Comment ? En brandissant des… records. Comme si c’était un spectacle, un amusement programmé. Comme si toute information n’était qu’un jeu…Et que cet aliéné était un spectateur « éloigné ». Devant un spectacle sans conséquences. Ne participant pas au spectacle, n’y étant pas dedans. Mais le mirant de l’extérieur. Sur un écran sans exigences. Il n’est donc pas concerné car le filmm va afficher « fin » (pas « fun »)…Et on va passer aux choses vraiment sérieuses ? Jouer encore plus !!! Et oui s’amuser à émettre des avis, toujours si atrocement décalés. Ce qui donne :

..

« L’atmosphère terrestre semble synchronisée avec l’agenda de la diplomatie climatique […quelle infinie magie de contes de fées…]. A trois semaines de l’ouverture, à Paris, de la 21e conférence mondiale sur le climat (COP21), le Met Office britannique et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ont séparément annoncé, lundi 9 novembre, le franchissement en cours ou imminent de deux seuils symboliques importants. Ces deux piqûres de rappel coïncident avec la « pré-COP21 », la réunion préparatoire qui rassemble une soixantaine de ministres à Paris jusqu’à mardi, afin d’ouvrir la voie à un accord contraignant et universel prenant la suite du protocole de Kyoto. »

..

http://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/11/09/2015-annee-de-tous-les-records-climatiques_4806136_4527432.html

Serions-nous alors dans l’attente du prochain record ? Qui va PULVERISER le précédent ? La pâtée qu’on va leur mettre. Nous les battrons à plate couture.Etc. Les enfants s’amusent dru…Au royaume de l’infantilisation généralisée c’est de bon aloi…Pourtant, les abus d’anthropisations (humaniser tous les phénomènes naturels, placer une volonté humaine dans tout événement), ici, atteint la cote alarmante. « L’atmosphère terrestre semble synchronisée avec l’agenda de la COP21 ». Personne de sensé, de sain et de normal ne peut proférer de tels enfantillages lorsque les enjeux sont vitaux. S’amuser ainsi avec l’information représente bien un délit d’illégitimité.

Ce qui allié avec l’insupportable babil des…records, représente des symptômes suffisament graves pour pointer le grand danger qu’est devenue la …maladie du conformisme. Attendre « des ordres » pour pernser désorganise donc chaque individu ? Et toute la société ? En fin des comptes, plus personne ne sait…penser. Tout le monde fait semblant. Et la puérilité venimeuse augmente…

https://fr.news.yahoo.com/%C3%A9missions-gaz-%C3%A0-effets-serre-lann%C3%A9e-2014-bat-110921724.html

Que répondre à des personnages qui en sont encore à faire mumuse avec les …records du climat ? Ils n’atteindront jamais la maturité (sens des responsabilités, attentions aux autres, etc) nécessaire pour changer de comportements. Ils sont vraiment trop atteints : que font-ils dans la cour des grands ? Les enfants sont agréables pour la tendresse mais ce ne sont pas eux qui vont animer (utilement) les cours universitaires ? Nous sommes , pourtant, dans cette situation. Les plus « infantilisés » d’entre nous « s’amusent » à diriger le monde. Jouent avec les informations. Formation = ce qui nous forme et nous sort de l’informe. Lui, indéterminé, indifférencié et porteur d’aucune décision. inFormation = qui nous offre la formation pour utiliser l’information afin de changer radicalement…de comportement de vie…de direction collective…

..

https://fr.news.yahoo.com/%C3%A9missions-gaz-%C3%A0-effets-serre-lann%C3%A9e-2014-bat-110921724.html

Devant ces assauts d’infantilismes, de frivolités et de superficialités, etc. – se demander Où est donc le sérieux ? Où siègent les adultes ? va permettre, peut-être, de prendre la maladie toujours plus grave du conformisme par les cornes…

Ce sont eux/ elles, par leurs styles de vie brouillons, irresponsables, incohérents, déraisonnables, sans perspectives durables, et sans jamais de pondérations, de mesures, de sens des précautions, etc. – oui, eux, les principaux initiateurs de la catastrophe climatique. Refusant tout débat de fond. Imposant, despotiquement, aux autres, leurs infantiles styles de mort et sans discussions possibles (le conformisme n’est pas négociable). Peut-on trouver pire comme auto-enfermement ? Psychoses sociales…

..

…….Oui comme de lunatiques aliénés sans cesse dans la cour de récréation.

 

 

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..

..

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

..

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

(à suivre)

 

 ……………. tous ces posts  sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/,  onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

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10 novembre 2015

Senti Mentalité

lisbonne 058

La bonne de mentalité. Puisque sentir c’est le vrai futur. Sentir c’est toujours 3 (trois) : le sensitif, le senti sentiment et l’émotion. Ce qui promet de ne rien oublier pour les autres. Si vous aviez, en plus, formé votre intelligence à être branchée cœur – vous êtes carrément dans le futur et la nouvelle civilisation….voir, ici, comment sentir conduit aux images pleines, complètes, exhaustives, débordantes, abondantes. Ce que ne pourra jamais être l’image de papier glacé qui ne se laisse pas infiltrer, communiquer, rendre peau, partager – mais reste impénétrable, une surface excluante…qui n’est pas image de…transformation intérieure…

…………………………………….****

Tu me soulèves, tu me submerges

tu m’inondes et tu me surnages

toute la place en moi est faite

Que pour toi.

Pour survivre j’étais encombré

de quelques imitations

Mais le feu de tes yeux les a à l’instant

réduit en cendres.

..

Je n’existe que pour que tu m’envahisses

Et c’est avec le cœur plus léger

qu’un oiseau en vol

que plus rien de moi ne veut

résister

à la plus douce des conquérantes.

..

C’est avec une gratitude infinie que

je plie à ta loi

qui est d’être toi

Si tu le veux tu peux être

moi de même

Tu n’y seras qu’un cœur pur

et nous nous mêlerons jusqu’aux

Racines

pour le nectar des forces

Pour qui ma reconnaissance est infinie

de t’avoir fait exister.

..

Mais toi seule me soulèves,

me submerges, m’inondes et me surnages

puisque toi seule m’épanouira

suffisamment pour

que resplendisse le règne de la Beauté.

Tu sais que la beauté est si douce et si

ferme

Qu’elle vient de l’intérieur

et que rien ne peut l’imiter

Que tous les voleurs de rêves

ne saisissent que du vent

Que tous les écumeurs d’objets

où elle sait se déposer

n’agrippent que du vide.

..

Je suis ébloui de toi

tellement que j’en perds les yeux

Que pour toi.

j’en égares mes formes

et que je deviens l’oiseau

qui sait fulgurer

au plus vite du centre de toi-même

J’en reviens saupoudré toujours plus

de soleil

encore plus ruisselant de force

..

pour mieux recommencer – mer

……………………éternelle –

mes assauts de douceur

vers ta beauté incaptivable.

 

..

Toi seule sait pulvériser

mes derniers lambeaux d’identité

pour que je devienne tout l’univers

dont le condensé le plus puissant

se trouve en toi

Nous trouvons comme deux mondes autour

de l’un et l’autre

Et l’univers en redevient harmonieux

tu sais ce n’est pas grâce à nous

seulement à ce qui nous dépasse tous

le seul mot de pouvoir – l’Amour.

..

Le seul qui nous soulève,

nous submerge, nous inonde et

..

…………………………………….……en surnagent

…...

……………..quelques uns.

 

 

…………………

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

..

https://youtu.be/lWW_-fgCgyE

 

aucune débâcle des sentiments – bien au contraire, les pouvoirs en ont toujours plus peur

 

https://youtu.be/eetLdaqgHPw

 

https://youtu.be/XhQ6jyZy4YA

 

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8 novembre 2015

Une formule mathématique du bien être ?

182215_187305311308995_100000885833500_452571_2356137_n

Cette recette cette intègre les trois critères du feel good (se sentir bien) que nous allons découvrir. Oui, un chercheur de l’université de Groningen aux Pays-Bas, Jacob Jolij, chercheur en neurosciences cognitives –  m^me si ce qui fait qu’une chanson nous touche répond à des paramètres tout à fait subjectifs – a trouvé ces trois critères qui marquent une chanson d’un caractère positif et objectif.

Le schéma de l’attente c’est juste ce qui fait qu’on se sent bien en l’écoutant, la chanson “feel good” idéale (FHI). Que la formule mathématique avoue entièrement

Ecoutons Jacob Jolij nous expliquer les 3 critères de sa formule mathématiques

« Trente-sept ans après sa sortie, le tube du groupe Queen Don’t stop me now a toujours le pouvoir de faire bouger les foules et de remplir les pistes de danses. “Et maintenant un neuroscientifique a confirmé l’impact que cette chanson semble avoir sur ses auditeurs grâce a une équation qui montre qu’elle est en tête des feel good songs [les chansons qui mettent de bonne humeur] des cinquante dernières années”

150 battements par minute

Selon lui, parmi les critères importants : des paroles positives, mais aussi un tempo de 150 battements par minute. “Cela déclenche inconsciemment une sensation d’énergie”, explique-t-il au site britannique. “L’utilisation du majeur [une classe de gammes diatoniques] sonne de manière joyeuse à nos oreilles, c’est quelque chose que nous associons à la confiance, poursuit le scientifique.

Combinez ces trois ingrédients et vous aurez la formule parfaite pour créer une chanson qui met de bonne humeur!

 

L’équation développée par Jolij requiert une combinaison de paroles positives (L), un tempo de 150 battements par minute (BPM), une série de notes en mode majeur (K) pour produire la chanson “feel good” idéale (FHI).  

Le chercheur a ainsi utilisé son équation pour produire un classement des 10 chansons qui font se sentir le mieux, parmi un panel pioché dans les tubes des cinquante dernières années. On retrouve donc en tête Don’t stop me now suivie de Dancing Queen du groupe suédois Abba, puis les Beach Boys avec leur tube Good Vibrations. Quant à la célèbre Happy de Pharell Williams, qui fait danser depuis 2013, elle ne fait pas partie du top 10. En revanche, elle est la meilleure feel good song de cette décennie, selon le classement de Jolij. »

http://www.courrierinternational.com/article/pop-sciences-dont-stop-me-now-met-de-bonne-humeur-cest-prouve-scientifiquement

Voici donc les 10 chansons qui sont censées vous donner la pêche : 

1. Don't Stop Me Now (Queen)

2. Dancing Queen (Abba)

3. Good Vibrations (The Beach Boys)

4. Uptown Girl (Billie Joel)

5. Eye of the Tiger (Survivor)

6. I'm a Believer (The Monkeys)

7. Girls Just Wanna Have Fun (Cyndi Lauper)

8. Livin' on a Prayer (Jon Bon Jovi)

9. I Will Survive (Gloria Gaynor)

10. Walking on Sunshine (Katrina & The Waves)

  …

Et par décennie

2010 :  Happy (Pharrell Williams)

2000 : Dancing in the Moonlight (Toploader)

1990 : Let Me Entertain You (Robbie Williams)

1980 : Uptown Girl (Billy Joel)

1970 : Don't Stop Me Now (Queen)

1960 : Good Vibrations (The Beach Boys)

Cette liste contient uniquement des titres anglosaxons. Mais libres à nous de nous donner la liste des chansons qui vous rend le plus heureux ! 

…..

http://www.terrafemina.com/article/le-top-10-des-chansons-qui-rendent-heureux-selon-la-science_a287547/1

où l’on peut entendre ces 10 chansons. Et donc, personnellement vérifier…

Oui – ce bien-être mathématisable c’est juste par la musique – dont les notes sont chacune…mathématisable…

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http://dai.ly/x30vjjk

Chaque accord a une émotion qui lui est propre, alors ? Et bien commençons tout de suite avec les accords de la joie et de la tristesse !

..

https://youtu.be/qW335NjIKK4

notre cerveau crée notre réalité

..

http://dai.ly/x37aygx

Toujours les mêmes 4 accords

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7 novembre 2015

L’amour est mort ?

lisbonne 266

En fait, uniquement pour qui prononce cette phrase. Pour elle/ lui tout sera fait afin de vivre sans amour. Mais de là à généraliser, faut pas tiger. Faut pas higer, homme-lige, figer ou piger. Cette assertion improbable ne démasque que le faciès peu « aimable » de qui nous cache tant par son refus d’aimer. On ne peut refuser que ce qui existe. Non aimable qui n’aime pas, n’est-ce pas ? Peu aimant et sans magnétisme qui rejette l’amour. ,

L’amour est mort ? Sonne l’universalité : or les chiens continuent à rechercher l’homme. Donc l’amour existe, puisque sans ce lien frémissant les chiens nous quitteraient en masse et nous attaqueraient dru. L’amour est mort ? Juste une lubie de lunatiques ? Bon – voyons, au moins, d’où elle fit surection…cette parole en l’air ?

(…) elle ne voulait pas être amoureuse, elle refusait ce sentiment d’exclusivité, de dépendance, et c’est toute sa génération qui le refusait avec elle. J’errais parmi eux comme une sorte de monstre préhistorique avec mes niaiseries romantiques, mes attachements, mes chaines. Pour [©ces enfants de la pub et de la consommation] la sexualité n’était qu’un divertissement plaisant, guidé par la séduction et l’érotisme qui n’impliquait aucun engagement sentimental particulier ; sans doute l’amour n’avait-il jamais été, comme la pitié selon Nietzsche, qu’une fiction inventée par les faibles pour culpabiliser les forts, pour introduire des limites à leur liberté et à leur férocité naturelles (p 314 – Michel HouellebecqLa possibilité d’une île, 2005). » Voilà – le tas de secrets qui ne dénude que des personnages qui ne voudront jamais…d’enfants parce qu’elles/ ils veulent rester enfants toute leur vie. Pas de place donc pour deux : je prends tous les draps et tous les drapeaux. La « libre » concurrence c’est toujours le refus de la loyauté, de l’équité et de l’égalité des droits. Le bourgeois est dénudé comme la plus gigantesque des hypocrisies de tous les temps : tout est inversé chez lui. Les mots sont assignés à dire le précisément contraire des comportements. Guère étonnant à ce qu’ils ne supportent pas l’amour qui les regarde droit dans les yeux. Droit comme le Droit lui-même…

Qui dit « L’amour est mort », sans jamais d’argument à la clé, est la/le même qui FUIT la vie pour ses volutes virtuelles. Mon désir fait loi mais il n’y a pas de loi contre mon désir !... « ils s’étaient habitués à se désintéresser peu à peu de l’existence réelle, et à lui préférer son commentaire (p. 343 – ibidem). La bourgeoisie comme une fatalité mortifère. Soit son autodestruction par implosion interne : seule perceptible, dans ses étapes, par des observateurs désintéressés et intègres.  Quant à son résultat final ?

..

« Quant à l’amour, il ne fallait plus y compter : j’étais sans doute un des derniers hommes de ma génération à m’aimer suffisamment peu pour être capable d’aimer quelqu’un d’autre. Il n’y a pas d’amour dans la liberté individuelle, dans l’indépendance, c’est tout simplement un mensonge, et l’un des plus grossiers qui se puisse concevoir : il n’y a d’amour que dans le désir d’anéantissement, de fusion, de disparition individuelle, dans une sorte comme on disait autrefois de sentiment océanique, dans quelque chose de toute façon qui était, au moins dans un futur proche, condamné (p. 389 – Michel Houellebecq – La possibilité d’une île). » Sauf que, à se trouver trop immergé parmi les ahumains, froids comme la banquise, séparés de tout, indifférents à tout ce qui n’est pas elle/eux, jetant les autres comme des kleenex, etc – on perd la juste mesure et la proportionnalité des choses. Ainsi ce n’est pas s’aimer peu qui permet d’aimer mais bien plus s’aimer beaucoup mais pas trop (sinon où l’autre pourrait avoir une petite place ?). S’aimant beaucoup mais pas trop l’on peut aimer les autres dans les mêmes dosages, toujours tirés par le haut, eux. C’est que l’amour accède, seul, à la justice en soi-même. Cette justesse qui permet de soupeser chaque argument. Chaque sentiment ou sensation sans jamais se tromper. Au millionième de milligramme près.  Quelle merveille à vivre que de savoir tirer « au jugé » et de planter sa flèche en plein dans la cible. Sans avoir besoin de regarder la cible. De jouir de tous ses neurones-miroirs lorsque le doigté hyper sensuel de la justesse juste vous file la chair de poule cortésienne…et, qu’enfin, toutes ces pesées sensuello-mentales se voient reliées par millions entre elles et que vous vivez, à l’instant, tout l’espace infini. Jusque dans ses moindres recoins de nectars, d’ambroisie ou et de soma des dieux.

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Ensuite, l’usage de vocable négatif et dépréciatif qui fait de l’amour un « anéantissement ou une disparition individuelle » manque, étourdiment, que c’est la multiplication de soi-même – l’amour. Un agrandissement non une rétrécissement final, une présence à la présence d’esprit non un effacement et une absence, etc.. Comme sur un rocher où vous avez, tout autour de votre corps poreux de pores, l’océan reflété des milliards de fois du volcan solaire. De l’or liquide. De l’or riant. Ce soleil lumineux qui vous déplie tout le corps dans son LOISIR total de la plénitude. Sans enjeu, sans orgueil inutile, sans barrages égotistes, sans pensées pesantes, sans restrictions aucunes. Et que vous atteignez, en toute matérialité, les dimensions ultimes de l’univers. Celle où à chaque limite on l’imite. Insurpassable extase que seul l’amour permet. Puisque, dans la patiente alchimie de toutes les distillations, l’amour reste le précipité suprême. La quintessence de toute quinte essence. Et tout autant  – il nous ramène au corps primitif où chaque pensée était une…sensation en feu. Où tout le corps vibrait de la graisse de la vélocité intérieure, se faisant des sauts périlleux à l’intérieur de lui-même, s’envolant comme un oiseau, etc. atteignant à tout ce à quoi l’imagination peut s’intéresser. Vivre toute les sensualités d’un primitif directement branché à la plus haute des sensualités (la Nature) mais sans « vivre » à 100 % comme un primitif : la super classe.

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Atteindre le loisir total du regard qui ne veut rien gagner, rien prouver, rien « profiter » (comme un mac), etc. – juste être. Qui capte, pour cela, tout. Sans filtre. Et en devenir un « morceau du paysage » c'est-à-dire que l’on entend tout (chaque bruit de racine, chaque tortillon de terre qui se meut, chaque raclement d’animal qui se faufile, chaque changement de direction du vent. Etc – tout !!!). Que l’on vit tout ensemble (à la fois minéral végétal et animal) et que l’on obtient toutes les émotions (se « sentir » traversé par ce qui a 13,7 milliards d’années lumière – soit l’origine de l’univers qui est toujours « Là » dans l’accessible espace et pas dans un temps « séparé » de nous – insurpassable expérience)…etc.. Oui SEUL l’amour permet tout ceci !!! Le meilleur investissement possible. Milliardaire de la vie intérieure – oui un milliard de milliard supérieur au milliardaire de la fausse monnaie. L’argent est une quantité donc très limitée, centre de conflits sans fins et de passions tristes (amertume, insatisfaction, envie, haine, désespoir, manque etc. – bref, que du bien peu reluisant). L’amour lui ne s’use jamais. La qualité est abondance infinie et n’accède qu’aux passions heureuses et aux expressions…justes. Plus chacun-e s’en sert (et ressert) plus il en reste. La paix est amour : infinie, immortelle, indestructible sous les…apparences.

Face à cette réelle prospérité et fertilité - Ne se limiter qu’à soi ( soit refuser l’amour) quel horriblement mauvais calcul. Sentir que l’amour serait mort c’est faire de l’amour  uniquement un investissement économique, un placement, un profit futur, une guerre de blocus et blocages, un assujettissement à la bestialité de l’économie qui n’économise rien (même pas elle-même J). Et l’amour qui est tout esprit de finesse et de géométrie échappe, si aisément, à cette grossière barbarie – et nous offre toutes les meilleures affaires possibles. Le stade suprême de devenir un milliardaire de la vie intérieure et de la sensualité épicurienne. Ayant choisi la pauvreté matérielle. Mais s’éloignant, ainsi, à la lourdaude stupidité de l’hédonisme consumériste qui s’autodétruit par gloutonnes indigestions sans plus de gestions. Gestions des gestes qui contrecarrent les gestes indigestes. L’amour c’est le vrai business, celui de la cour des Grands, celui qui, par assaut de subtil, subtilise tout. Sans que les naïfs cyniques s’en aperçoivent. Auto-aveuglés par leur soi-disant vision des choses. Juste une chimie primaire et trop sommaire du corps qui ne vit que l’amer – pas très futés les stupids cupids…lorsque n’être riches que d’argent c’est, véritablement, tout…perdre !!!

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Aider ailer aiser… aimer même victoire…l’amour reste le plus grand business man (et woo man) (woo man en amérindien c’est le vœu, vœu de l’homme ?). Toutes les merveilleuses affaires c’est toujours lui…irréfutable sa « coprésence » au monde. Pas comme la gaminerie capitaliste qui « fuit », minablement, tous les débats. Lunatiques en costards cravates. Si peu « aimables » dans leurs uniques brutalités et ils voudraient être …aimés. Impossibilités des conjugaisons. La loi inflexible des conjugaisons leur donne entièrement tort. Tout le reste aussi…. « si nous demeurons dans l’innocence, et dans l’approbation du seul regard, nous demeurons également dans l’amour (p. 389 – Michel Houellebecq – La possibilité d’une île). » Parole la plus fondamentale du livre. Devant laquelle on ne peut pas vraiment se défiler. Qui dit que l’amour est mort (sans le démontrer) n’affiche que sa propre fuite terrifiée devant tout engagement. Ou tout «attachement» qui donne aux autres une prise sur vous…Soit devant tout effort, oui transformation de grossier(e) brut(e) à ce qui a appris (disciplines et surpassements) à « devenir » « aimable » (…littéralement = qui peut être aimé !!!). Surtout pas question d’être…aimable. Ce qui se traduit par le non respect d’autrui, considéré comme un bétail de détail – qui ne demande, ainsi, aucune attention, aucune mémorisation, aucune considération de la parole donnée, aucune entrée à la vérité,  aucun droit en fait – non respect fuyard qui ne fait que dénuder le hideux faciès du « moi, j’ai tout les droits et les autres aucun » ou du « tout pour moi et rien pour les autres «  détecté par Adam Smith nous conseillant les « sentiments moraux » , donc les sentiments mélangés avec les affaires - ce pourquoi il n’a jamais pu inventer le…capitalisme. Et personne n’a inventé ce ramassis d’enfantillages qui ne font que glisser sur la pente scatologique du laxisme abusif envers soi-même et de la cruauté inacceptable envers les autres. Ce pourquoi la seule « production » ( !) artistique ( !) de ces « désaimants » désaimantés - ce sont les « selfies » autre nom de « selfish » (égoïste – oui desséché d’égoïsme)…tout cela ressemble fort à un…effondrement sur soi-même. Oui ou non ?

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https://www.jamendo.com/es/track/334926/vivre-sans-amour

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Pour répondre, il suffit, en somme, d’écouter une chanson qui décrit ce qu’est… « Vivre sans amour » (en plein dans le thème)…

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« …faut me croire quand je te dis
que l'important c'est d'aimer
sans attendre d'être aimé en retour
c'est toi qui reçois les merveilles
qui révolutionnent ton corps

l'autre reste au désert avec son miroir de Narcisse
c'est toi qui reçois les merveilles
l'important c'est d'aimer
sans rien attendre en retour » (Gun Giant – L’échec des dirigeants ?, 2011).

Selfie où vie dans le désert peuplée seulement des… miroirs de Narcisse ? Pendant que les prétendus ‘ »cons » vivent toutes les merveilles. Avec un corps révolutionné chaque jour ? Y’a pas photo les perdant(e)s ne sont pas celles/ ceux que l’on croit. Looser est, d’ailleurs, comme l’anagramme de Love !!!

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 « si nous demeurons dans l’innocence, et dans l’approbation du seul regard, nous demeurons également dans l’amour (p. 389 – Michel Houellebecq – La possibilité d’une île). » L’amour en devient de retrouver l’innocence…donc l’air libre, le temps disponible, l’aisance corporelle, l’absence de pensées qui minent, de sensations pénibles, de cupidités, d’envies, de pestes émotionnelles ou de passions tristes, etc..

L’amour est mort ? OUI, mais uniquement pour qui sort de telles conneries…

……..les autres rient silencieusement dans leur force tranquille !!!

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https://youtu.be/UvvkJrKKYF8

 

https://youtu.be/ReGsn0FgUMU

 

https://youtu.be/DxmFbdp7v9Q

 

https://youtu.be/MYKs9Vh0zWA

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